Je dis Stop aux détraquées marseillaises qui pullulent je veux une femme sérieuse

Les délurées marseillaises : je dis stop

Les délurées, toute une histoire, c’est vrai que les pas tranquilles sont légions.

Et dans ma recherche de femme idéale j’en ai fait l’amère expérience. A dire vrai aussi je m’essayai à coller des affiches dans la rue. Quelle drôle d’idée me direz-vous.

Mais j’ai eu du succès du moins le croyais-je. Même des hommes ayant vu mon affiche, et étant de la jaquette, me téléphonèrent.

Lorsque je leur répondis outré qui je recherchais une femme, et que c’était bien spécifié dans mon annonce, ils ne se froissèrent pas.

En me demandant si je n’étais pas bi, au moment où je leur répondis non, ils s’éclipsèrent sans plus m’embêter.

Des chtarbées toutes ses gonzesses

Mais le plus beau fut avec les filles, qui se montrèrent fort intéressées par mes affiches, lorsqu’elles me téléphonèrent.

Je tombai soit sur un numéro masqué, ou en s’excusant pour certaines elles me communiquèrent leur numéro réel.

Mais lorsque j’essayais de les rappeler j’avais un numéro inconnu, n’habite plus à cette adresse  ou une connerie dans le genre.

Aussi, il y avait celle qui trouvaient mes affichettes me téléphonaient.

Nous nous donnâmes rendez-vous, dans un restaurant non loin, et puis rien, il n’y avait personne qui se pointait !

C’est quoi ça moi on me fait pas poireauter comme une merde bande de greluches, je changeai donc mon fusil d’épaule.

Je fais mon marché sur la toile

En me rendant à l’évidence, je devais investir internet, et devenir plus que visible, que les pinups pianotant sur leur clavier tombent sur mon site.

Pour qu’il devienne « un piège à fille, un joujou extra, qui fait craque boum hu, les filles en tombent à mes genoux ».

Mais la raison de ce site est de rencontrer ma femme et la trouver rapidement, facilement, et simplement en somme.

Mais après tout je suis plutôt confiant pour l’avenir, je vais avoir des enfants tous plus beaux les uns que les autres un point c’est tout.